Résumé :
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Réflexion sur la relation qu'entretient l'homme avec la nature. La thèse selon laquelle les animaux sont des machines établissant la supériorité de l'homme, l'hypothèse selon laquelle la planète est un être vivant, les raisons pour lesquelles l'homme a besoin de paysages. La responsabilité du système capitaliste dans la destruction de la planète, les points de vue du spécisme et de l'antispécisme, la proximité des peuples autochtones avec la nature. Entretien avec Virginie Maris, philosophe de l'environnement : les questions soulevées par l'éthique environnementale, l'évolution de notre rapport au vivant et l'importance de la nature sauvage.
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